J’ai réalisé cette peinture d’après une photo que j’ai prise aux arènes de Nîmes. Le soleil n’était malheureusement pas au rendez-vous, alors j’ai dû faire un travail sur ma photo et un travail plus conséquent encore pour rendre la lumière sur ce costume bleu Outremer. J'ai travaillé en réalisant des glacis successifs à la manière des Maîtres flamands du 15e siècle, la première couche est opaque, ensuite toutes les autres sont de plus en plus transparente ; c’est ce qui rend la lumière si profonde et puissante, car elle traverse des surfaces transparentes et colorées.
 La pose tranquille, les pieds bien plantés dans le sol, maintenant sa cape contre lui, il se prépare mentalement et nous monte qu’il est prêt pour le combat. La lumière qui se dégage du tableau et le fond sombre, contribue à donner une atmosphère de clair-obscur suggérant les maîtres du passé.

J’ai travaillé sur le cadrage du trio "torero-toro-cape". L’effet d’ombre et de lumière met en relief le travail du torero et projette une ombre que je n’aurais jamais pu imaginée, elle dessine parfaitement la tête du toros. On ressent la grâce de cette danse mortelle dans l’élégance naturelle du torero et l’envolée de la cape. L’association jaune et fuchsia contraste avec la robe noire du toros.
J'ai travaillé sur une toile très fine, mais qui laisse au grain de la toile la possibilité de créer des effets de frottis, lorsque l'on passe sur une couleur déjà sèche en laissant apparaître dans les creux de la toile la couleur de dessous. J’ai travaillé par glacis successifs à la manière des Maîtres flamands du 15 e siècle, la première couche est opaque, ensuite toutes les autres sont de plus en plus transparente ; c’est ce qui rend la lumière si profonde et puissante, car elle traverse des surfaces transparentes et colorées.

 J'ai réalisé ce tableau en 2019, dans un temps limité, à peine deux mois pour réaliser deux grandes toiles, pour l’exposition de la Féria d’Arles.
Le torero Enrique Ponce, lors d’une corrida à Nîmes est venu se placer juste sous la place que j’occupais, et j’ai eu tout le loisir de le photographier.
 J'ai travaillé sur une toile très fine, mais qui laisse au grain de la toile la possibilité de créer des effets de frottis, lorsque l'on passe sur une couleur déjà sèche en laissant apparaître dans les creux de la toile la couleur de dessous. J’ai travaillé par glacis successifs à la manière des Maîtres flamands du 15e siècle, la première couche est opaque, ensuite toutes les autres sont de plus en plus transparente ; c’est ce qui rend la lumière si profonde et puissante, car elle traverse des surfaces transparentes et colorées.
 L’attention se porte immédiatement sur la lumière accrochée aux broderies de son costume, ainsi que sur la barrière mais ce qui est intéressant dans l’attitude du torero, c’est sa décontraction et son aisance au milieu de l’arène accoudé à la barrière : comme s’il maîtrisait totalement la situation.

J'ai réalisé ce tableau en 2019, dans un temps limité, à peine deux mois pour réaliser deux grandes toiles, pour l’exposition de la Féria d’Arles. J’ai photographié Juan Bautista, juste avant la mise à mort du toro.
Son attitude, sa concentration pendant qu’il arrange sa cape avec son épée font ressentir le silence dans les arènes. La solennité de l’instant et le risque toujours possible se lisent dans son regard. Le fond d'une couleur dorée, fait ressentir l’isolement dans lequel il est doit être pour pratiquer cet art étrange

J'ai travaillé sur une toile très fine, mais qui laisse au grain de la toile la possibilité de créer des effets de frottis, lorsque l'on passe sur une couleur déjà sèche en laissant apparaître dans les creux de la toile la couleur de dessous. J’ai travaillé par glacis successifs à la manière des Maîtres flamands du 15 e siècle, la première couche est opaque, ensuite toutes les autres sont de plus en plus transparente ; c’est ce qui rend la lumière si profonde et puissante, car elle traverse des surfaces transparentes et colorées.
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J’ai peint ce portrait d’un torero imaginaire, il représente un matador

Espagnol. son costume de lumière rouge éclairé par un clair-obscur

rappelle les maîtres du passé. Sa pose est fière et assurée, le point

focal est mis sur son regard presque provoquant. on s'attarde sur

chaque broderie jusqu'à sa main posée fermement sur sa hanche, qui

met comme un point final au face à face.  Ce tableau est peint par

glacis successifs, jouant avec les différentes nuances de rouges du

rouge vermillon au cramoisi d'alizarine pour donner à son costume 

sa luminosité.

 Dans ce tableau, j'ai voulu mettre en avant  le jeu de l'ombre du torero Sébastien Castella sur le sable des arènes de Nîmes. Les ombres sont toujours surprenantes, elles ne sont jamais comme on s'y attend. J'ai resserré le cadrage afin de concentrer les regards sur le mouvement de la cape et les broderies du costume.
 J'ai travaillé sur une toile très fine, mais qui laisse au grain de la toile la possibilité de créer des effets de frottis, lorsque l'on passe sur une couleur déjà sèche en laissant apparaître dans les creux de la toile la couleur de dessous. J’ai travaillé par glacis successifs à la manière des Maîtres flamands du 15e siècle, la première couche est opaque, ensuite toutes les autres sont de plus en plus transparente ; c’est ce qui rend la lumière si profonde et puissante, car elle traverse des surfaces transparentes et colorées.

Cette toile montre les couleurs de la corrida, la lumière sur le sable brûlant des arènes de Nîmes. Le rouge de la contre-piste, le rose fuchsia et le jaune des capes. On y voit les capes posées sur la barrière, notamment celle de Sebastian Castella, c’est un moment de préparation, les toreros n’ont pas encore commencé leur ballet. Tout est en attente. Le soleil éblouit les yeux, les toreros se préparent, jaugent le terrain, la peur certainement, mais aussi l’envie de combattre sont présentes dans les poitrines ornées d’or.